4000. C’est le nombre de démissions que le réseau public de la santé a dû encaisser depuis le début de la pandémie de COVID-19, une hausse de 43 % en comparaison à l’année 2019[1]. Avec l’arrêt ministériel qui s’étire, l’imposition d’heures supplémentaires obligatoires et les opérations de délestage qui se sont multipliées, il va sans dire que la conciliation travail-famille, déjà précaire avant la pandémie de COVID-19, a été mise à mal et cela s’en ressent auprès d’un bon nombre de professionnelles de la santé.
Un incitatif financier qui éclipse l’humain derrière le soignant
Un constat s’impose : les conditions de travail se sont dégradées avec l’arrivée de la pandémie et cela n’a fait qu’exacerber les problèmes déjà existants dans l’organisation du réseau de la santé. À bout de souffle et en quête d’un minimum de reconnaissance pour leur dévotion au travail, pas moins de 337 infirmières, une hausse de 20 % par rapport à mars 2020[1], ont fait le choix de se tourner vers les agences de placement privées afin d’y trouver un équilibre de vie qui leur permette de souffler un peu. En effet, malgré les incitatifs financiers proposés par le gouvernement pour attirer du personnel dans le réseau public, les professionnelles de la santé visent avant tout une qualité de vie et un milieu de travail équilibré qui saura faire preuve de considération à leur égard en les respectant et les soutenant quotidiennement.
Travailler avec MON+ vous permet d’être maîtres de votre temps en vous offrant une plus grande autonomie quant à votre horaire de travail ainsi que la possibilité de prendre les décisions qui vous importent le plus : miser sur votre famille en premier tout en faisant valoir votre expertise à sa juste valeur.