Parler ouvertement de santé mentale : un tabou devenu populaire

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Depuis quelques années, et plus particulièrement avec l’arrivée de la pandémie de COVID-19, la santé mentale est devenue le sujet de l’heure qu’il faut aborder de front sans détour. Cette démocratisation s’exerce dans plusieurs sphères de la société et le personnel soignant du domaine de la santé n’y fait pas exception. En effet, il semble de plus en plus convenu de s’ouvrir librement aux enjeux de santé mentale qui ont pourtant longtemps été tabous

Une pandémie qui fragilise les professionnelles de la santé

Les derniers mois ont mis à rude épreuve le milieu de la santé en décuplant les niveaux d’anxiété et de stress vécus par bon nombre de professionnelles de la santé. À ce sujet, une récente étude de Statistiques Canada note que « 7 travailleurs de la santé sur 10 ont déclaré une détérioration de leur santé mentale pendant la pandémie de COVID-19 »[1] et cela s’intensifie auprès du personnel traitant des patients soupçonnés ou confirmés d’avoir contracté la COVID-19 avec 77 % d’entre eux « […] qui ont signalé une détérioration de leur santé mentale par rapport à avant la pandémie de COVID-19 »[2].

Miser sur son bien-être pour aider les autres

Avec le temps et les différentes vagues de confinement qui se sont succédé, il est probable qu’une fatigue pandémique se soit installée. Cependant, des opportunités de carrière existent pour continuer de travailler dans un environnement humain, où le bien-être des patients et des employées priment avant tout. En choisissant de travailler pour une agence privée comme MON+, vous contrôlerez davantage votre emploi du temps et pourrez ainsi parvenir à une vraie conciliation travail-famille. Les heures de travail respectent un cadre clair, ce qui évite également d’imposer du temps supplémentaire obligatoire (TSO). Profiter d’un meilleur équilibre de vie permet généralement d’être plus à l’écoute de ses besoins personnels, de prendre du temps pour se reposer et de demander de l’aide si nécessaire avant de ressentir des symptômes de détresse psychologique ou d’épuisement professionnel.

Bâtir un réseau fort et empreint d’humanisme commence en prenant d’abord soin de ses piliers : les infirmières et professionnelles de la santé. Contactez MON+ pour en apprendre davantage sur les différents postes offerts, vous en trouverez assurément un qui vous procurera reconnaissance et dignité